Pas de biographie disponible.

Compositeur Musique additionelle Librettiste Parolier Metteur en scène Chorégraphe Producteur création Producteur version




Musical
0001 - White Lights (1927)
Musique: J. Fred Coots
Paroles: Al Dubin • Dolph Singer
Livret: Leo Donnelly • Paul Gerard Smith
Production originale:
1 version mentionnée
Dispo: Génèse  Liste chansons  

Genèse: In theme and presentation (but not in quality), the critics compared White Lights (a self-described “unique musical comedy of Broadway”) to such recent nonmusical hits as Broadway (1926) and Burlesque (1927), and even to the recent flop Footlights. But not for an instant did anyone think White Lights was unique, and it quickly joined the season’s parade of fast-folding failures. The story looked at the world of nightclubs and Broadway, and the New York Times noted there wasn’t any “novelty” in the show’s clichéd characters: the blonde singer Polly, aka Jean Paige (Marian Marschante, who during the short run was succeeded by Gertrude Lang, who a month earlier had played the leading lady Babette in the flop Half a Widow) is from a good family and doesn’t belong in “this kind” of work; the “noble-hearted youth” Danny Miles (Sam Ash, who was succeeded by Sam Wren) is in love with Polly and is “God’s gift to the songwriting business”; the nightclub hostess Flossie Finch (Rosalie Claire) has what is “technically known as a heart of gold” about “two feet below her auburn tresses”; and a butter-and-egg man has lustful designs on Polly and is all too willing to help her up the ladder of show-business glory. So, the moneyman backs a big Broadway show that stars Polly, and during the premiere she collapses when she realizes Danny is in the audience and has heard her perform a “sacred” number he had written for her and her alone, one never intended for anyone’s ears but hers. But the Times reported that a brief coda “let it be known that everything’s going to be all right.” In many respects the evening was a series of presentational numbers rather than plot or character songs. There were seven unnamed specialty acts, and the Times indicated that at one point in the first act the action halted and gave way to a twenty-minute floor show at the nightclub The Monastery, which included dancers, contortionists, and “ballad and wah-wah singers.” And the second act depicted both rehearsal scenes for a Broadway musical and scenes from that musical during its opening night performance. H.H. in Brooklyn Life and Activities of Long Island Society cautioned that “everything” in the production “reminds one of something one has heard or seen before,” and the music was “undistinguishable from the tunes associated with innumerable undistinguished musical shows.” But Marschante was “certainly very pretty, even if her coyness is somewhat forced,” and Claire could “sling slang and swear like the army in Flanders, and she does it very thoroughly.” The Brooklyn Daily Eagle noted that “you might want to see White Lights,” and warned that if you did “you had better hurry before the moving van backs up.”

Résumé:

Création: 11/10/1927 - Walter Kerr Theatre (Broadway) - représ.



Musical
0002 - Funny Face (1927)
Musique: George Gershwin
Paroles: Ira Gershwin
Livret: Fred Thompson • Paul Gerard Smith
Production originale:
2 versions mentionnées
Dispo: Résumé  Commentaire  Génèse  Liste chansons  

Quand il a ouvert sur Broadway le 22 novembre 1927, Funny Face fut le spectacle qui a inauguré l'Alvin Theatre tout nouvellement construit. Il a mis en vedette Fred Astaire et sa sœur Adele Astaire. C’est dans ce spectacle que Fred Astaire a dansé pour la première fois en tenue du soir et avec un haut-de-forme. Ce succès de George et Ira Gershwin est un autre de ces musicals des années '20 empli d'une ribambelle de stars, de rebondissements nombreux et improbables et de danses … Le tout baigné dans une musique de l’époque. Peu de gens voyant cette production lisse et soignée à Broadway, peuvent imaginer qu'elle a traversé l'enfer pendant les Try-Out.

Genèse: Création et Try-Out Initialement appelé Smarty, le musical a ouvert en Try-Out à Philadelphie le 11 octobre 1927 et à reçu de très mauvaises critiques. Cela a rendu obligatoire une réécriture en profondeur de l'œuvre et au remplacement de Robert Benchley qui avait contribué au livret de Philadelphie. L'ouverture à Broadway a été postposée. Et les Try-Out vont s'enchaîner alors que les réécritures et les changements se poursuivent jour après jour. Le spectacle est présenté à Washington à partir du 31 octobre, à Atlantic City à ârtir du 7 novembre puis à Wilmington à partir du 14 novembre. Création à Broadway (1927) Le spectacle atteint Broadway le 22 novembre 1927 à l'Alvin Theatre. Il a change de nom et s'appelle maintenant Funny Face. Grâce à tous ces changements judicieux, le spectacle est devenu un succès majeur de Broadway de 244 représentations. Création à Londres (1928) A la fin de la série à Broadway, toute la troupe a transféré le spectacle à Londres au Princes Theatre dès le 8 novembre 1928, se jouant jusqu’au 29 janvier 1929. Après un court UK-Tour, le musical rouvrit ses portes au Winter Garden Theatre de Londres le 11 mars 1929, où elle se déroula jusqu’en juin 1929, soit un total de 263 représentations à Londres. Un vrai succès!

Résumé: Jimmy Reeve est le tuteur légal de trois jolies sœurs: Dora, June et Frankie. Il garde leurs biens précieux dans son coffre. Le collier de perles de June y est enfermé, tout comme le journal de Frankie confisqué par Jimmy. Mais ce journal contient des choses très compromettantes pour Frankie et elle convainc l’aviateur Peter Thurston de le voler dans le coffre. Mais comme les bijoux et le journal se trouvent dans des enveloppes identiques, il se trompe et vole les perles à la place, déclenchant une poursuite joyeuse qui emmène tout le monde à la jetée d’Atlantic City. Et pour rendre les choses encore plus compliquées, deux cambrioleurs maladroits, Herbert et Dugsie, tentent également de pénétrer dans le coffre-fort et sont emportés dans la poursuite.

Création: 22/11/1927 - Neil Simon Theatre (Broadway) - représ.



Musical
0003 - Heads Up! (1929)
Musique: Richard Rodgers
Paroles: Lorenz M. Hart
Livret: John McGowan • Paul Gerard Smith
Production originale:
3 versions mentionnées
Dispo: Résumé  Génèse  Liste chansons  

Heads Up! est une œuvre de Richard Rodgers et Lorenz Hart qui n'a - à Broadway du moins - été ni un flop ni un succès. Il faut dire que sa première surevenait quelques jours après le Krash de 1929 à Wall Street, l'intérêt des New Yorkais était ailleurs.

Genèse: Me for You de Richard Rodgers et Lorenz Hart, avec un livret de Owen Davis, a subi un Try-out chaotique à Detroit durant les deux dernières semaines de septembre 1929, de sorte qu’il n’a pas ouvert immédiatement dans la foulée à Broadway. Quand il a été joué un mois plus tard, dans un second Try-Out, à Philadelphie, il avait un nouveau titre Heads Up!, son livret avait été entièrement réécrit par John McGowan et Paul Gerard Smith et de nombreuses chansons avaient été supprimées (mais la chanson-titre de Me for You a été conservée pour la nouvelle version), il y a eu des remplacements majeurs dans la distribution, et le metteur en scène original, Alexander Leftwich, avait quitté le projet. Heads Up! a ouvert finalement à Broadway le 11 novembre 1929, mais ne s’est joué que cinq mois et a terminé en perte financière. Il n’y a pas eu d’US Tour. La production londonienne a ouvert le 1er mai 1930 au Palace Theatre, avec un livret une nouvelle fois adapté mais a été une grande déception qui n’a tenu l’affiche que deux semaines, un flop complet. Les critiques et le public sont restés insensibles faces aux sages personnages cinglés et cyniques. En outre, le public londonien ne s’intéressait pas à l’histoire de la prohibition. La sentiment général était: «Trop américain». Le musical a été adapté au cinéma par John McGowan et Jack Kirkland. Le film a été réalisé par Victor Schertzinger. Il est aujourd’hui presque totalement oublié. Même si ce musical a virtuellement disparu, les chansons qui ont émergé de la partition sont délicieuses, et l’intrigue elle-même est très amusante, avec de nombreuses possibilités comiques pour Victor Moore, des interludes découpés pour Alice Boulden et Betty Starbuck, des moments de danse pour Ray Bolger, et des murmures romantiques pour Jack Whiting et Barbara Newberry.

Résumé: L’intrigue s’intéresse au luxueux yacht Silver Lady, qui appartient à Martha Trumbell (Janet Velie). Elle ne sait pas que le capitaine du yacht, Denny (Robert Gleckler), utilise le bateau pour un trafic d’alcool. Mais le lieutenant de la Garde côtière Jack Mason (Jack Whiting), qui est le petit ami de la fille de Martha, Mary (Barbara Newberry), découvre l’opération et arrête le trafiquant. Le comique Victor Moore a joué le rôle du cuisinier du yacht « Skippy » Dugan. Il aurait travaillé auparavant dans une grande maison mais tente aujourd’hui de révolutionner la cuisine avec ses inventions culinaires.

Création: 11/11/1929 - Neil Simon Theatre (Broadway) - 144 représ.